Silencecieux

Un poney arrivait au loin dans le champs.
Il était blanc, et on le remarquait de loin.
Je marchais d'un pas raide, seul dans le prairie, comme seul dans le monde.
Le pente n'était pas forte, mais pas façile à traversée
Surtout quand, comme moi, j'étais exténuer, par mon long voyage.
Je regardait devant moi. La plaine semblait infinie et personne à l'horizon.
Sondainment, sans prévenir, je me laissa tomber sur le sol.
Je respirat longuement.
Ma fatigue m'avait trahie.
Mais pourtant, je ne me résolu pas à fermer les yeux.
J'observait auoutr de moi mais personne.
Personne... Personne... Me répaittait une petite voie dans ma tête.
Endore toi, me disait-elle, dors, tu en as besoin.
Mes paupière deviencre lourdes,
J'essayait de lutter, mais je ne pouvait plus.
Et, peu à peu, ma paupière se ferma,
M'enporatant aux pays des rêves :
J'étais à présent la proie d'un sommeil profond.

Bien des heures plus tard,
Ou peut être des jours,
Je mez rêveilla.
Depuis combient de temps était-je ici ?
Je n'en avait aucune idée.
Je me relevat péniblement,
Bâtit des paupières et,
D'un pas lourd,
Repris ma marche silencieuse
De ma vie monotonme, sans espoire, sans joie.
Ma marche pour arrivé à un but lointain,
Que moi même je ne connaissait pas.

[Je t'ai mis ton deuxiéme message à la suite du premier, parce que sinon sa faisait un éspéce de double-post! Wink

J'éspere que je t'ai tout rmis comme il faut. Je vais répondre!]

Une jument silencieuse marchait, suivent sans bruit un étalon
blanc. Elle passa au trot, toujours sans bruit, puis
au galop. Elle passa devant lui, accélérant, maintenant
à une grande vitesse. Elle n'eût pas le temps de s'arrêter devant
la pente: pourtant elle freina des quatres (fers), rien n'y fit.
Ce qui aggrava la situation: elle tomba dans la grande pente, en roulant.
Lorsqu'elle arriva enfin en bas, elle s'écroula au sol,
les yeux fermés. Etait-ce la fin?

Tout ce passe en un eclair.
Tango, à l'allure morose, vit soudain une jument passer au triple galop devant lui.
Mais qu'est qu'elle fesait là, cette pibêche ?
Depuis combien de temps le suivait-elle ?
Soudain, il vit freiner de ses 4 fers, devant la pente.
Mais trop tard...
Il pensat d'abors que tant pis pour elle, qu'est qui lui avait pris, d'abors, de galoper comme ça ?
Elle voulait l'impressionner ou quoi ?
Eh bien, qu'elle sote...
Mais il vut la jument rouler dans la pente, à pousser des hennissement de terreur, puis soudain, atterir en bas, allongée.
Et c'est dans se genre de moment, quand vous êtes seul à pouvoir faire quelque chose, pour une pauvre jument, que le coeur des plus solitaire s'ouvre, soudain.
Et c'est ainsi que Tango commença à descendre prudament la pente.
Elle était glissante et difiçile, mais il arrivat finalement en bas, au côtés de la belle étourdie.
Il lui donnat un petit coup de tête sur la ganache, mais elle ne bougeat. Il la frappat légèrement avec son aterieur dans le ventre, rien. Il essayat de la relever avec peine, elle retombat lourdement sur le sol.
Alors, il déçidat de s'allonger à ses côtés, en attendant de voir si elle allait se réveilla, si elle était juste tomber dans les pommes, ou si elle était réelement... Morte.
Et il attendit.
De toutes façons, qu'avait-il d'autre de mieux à faire ?

[Noémie, tu fais du Power-Gaming! Fais gaffe!]

Dangerous respirait tellement faiblement qu'on ne l'entendait pas.
Au bout d'une heure, elle émit un gémissement. Mais Faible.
Une heure et demie plus tard, elle ouvrit faiblement
l'oeil, apercevant un gros tas blanc à côté d'elle.
Elle fit comme un bond en arriére, sauf qu'elle était couchée,
de peur. Puis, aprés s'être "reculé", elle vît que c'était un cheval.
Elle ne dit rien, attendant qu'il lâche quelque chose.